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                                     black bass en pays berbére

De retour d’un période dans les sud marocain, nous nous sommes arrêtés prés de l’oued massa, afin d’y piquer quelques – black- bass. Nous sommes des inconditionnels du Maroc.
Chaque année, ou presque, nous nous débrouillons pour y « des cendre » une quinzaine de jours, histoire de pêcher bars et sars, dorades et ombrines, mais  on s’éloigne beaucoup  de la pêche.. Nous avons pris rendez  vous avec Hassan, notre guide, pour midi, afin de casser une croûte et discuter de la peche à venir. L’œil mobile et brillant d’excitation, il nous explique la rivière pardon l’oued,.
Notre guide , unbraconnier repenti
 L’oued Massa se divise en secteurs plus ou moins longs. Ces poches » sont parfois petites,de l’ordre de cinquante mètres sur vingt, mais elle peuvent atteindre un kilomètre sur une quarantaine de mètres de larges. Parfois, marcher quelques dizaines  de mètres suffit pour aller d’une poche à l’autre, sinon il faut prendre la voiture, car l’oued est coupé  sur une grande distance notre guide, braconnier repenti spécialise du filet, nous donne les premiers conseils de pêche, «  Ici, dit il nous respectons le poisson, ce serait bien d’écraser les ardillons des hameçons. Et, il faut remettre tous les poissons, très doucement à l’eau « j’éclate d’un grand rire intérieur et évite de croiser les yeux de framboise, ma femme qui de toute façon s’est retournée, la main sur la bouche, pour ne rien laisser voir de son hilarité naissante «  pas de problème Hassan on relâche toujours nos poissons.quand aux ardillons, je ne les écraserai que lorsque j’aurai mes photos »
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La barque en bois, bien joufflue, nous attend superbe, unique elle nous change des bass boat trop moquettés . Hassan rame trois où quatre mètres, puis laisse la barque filer en direction des roseaux, il n’y a aucun courant il nous désigne un berbier, là dit –il il y’en a trois juste devant «  De fait il y’en a trois, qui semblent atteindre le kilo honneur leurre de surface à ras de l’herbier  les poissons se sont mis en alerte avant qu’il atteigne, l’attaque a été quasi immédiate un premier bass au premier lancer, voilà qui promet je profite du moment où elle décroche son poisson pour lancer au même endroit un remous derrière le leurre m’indique  qu’il en intéresse un au lancer suivant je réussis à le faire mordre. Il est plus petit  que le premier, une bonne livre tout de même. Nous ne le savons pas encore, mais des poissons de cette taille constitueront l’essentiel des prises. Dix bass plus tard, nous écrasons nos ardillons à la  grande satisfaction de notre guide, lui savait qu’il yavait énormément de poissons et qu’il n’y avait pas de  risque à écraser les ardillons De plus , nous mettions plus de temps à décrocher les poissons qu’à pêcher, alors.. les plus gros mais nous n’avions pas de gros, mais nous n’avions pas de person, devait taper les deux kilos.
Kilo en quatre heures de pêche une réussite comme celle-là je ne l’ai comme nulle part ailleurs si l’on  tient compte du poids, moyen des poissons, nous en avons profité pour tester des leurres afin de vous dire lesquels fonctionnaient le mieux ce ne fut pas une bonne idée, ils ont tous pris du poisson et terminent tous à égalité.
 Comme notre camps de base est sur tiznit à une trentaine de kilomètres au sud de Massa nous prenons congé de notre guide après avoir fixé rendez
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